Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (7) : Nouveau « Complot » Et Ultime Résistance.

Je poursuis le récit de mon long et finalement vain combat contre les tentations candaulistes de mon mari Philippe afin que je revienne à mon hypersexualité.
Après ce qui s’était passé avec Georges, le concierge, et son fils, dans ce parking, je vivais de plus en plus mal ma situation. Je persistais malgré tout dans ma volonté de refuser de retomber dans mes excès d’avant ma rencontre avec Philippe, et donc d’accéder aux désirs candaulistes de celui-ci.
Dans l’impasse.
J’étais dans une impasse totale : inactivité en journée, peu de relations sociales du fait de ma réputation et de ma peur de céder aux tentations, un mari adorable, amoureux fou, mais qui ne m’apportait pas tout le plaisir que j’attendais, en tout cas au moment de la pénétration et qui, au surplus, ne cessait de m’encourager à prendre un amant et à satisfaire ses envies candaulistes. J’aurais voulu devenir maire, mais je ne parvenais pas à être enceinte. Heureusement, je ne l’avais pas été à la suite de la séance dans ce sinistre parking avec Georges.
En plus, la liaison saphique que j’avais entretenue avec ma masseuse thaïlandaise Agun avait pris fin, celle-ci étant retournée dans son pays, malgré mes prières, car, pour la première fois j’étais tombée amoureuse d’une femme.
J’étais dans une impasse complète, au point que c’est l’époque où je me suis à consulter une psychanalyste, auprès de laquelle j’ai appris beaucoup de choses sur mon enfance et le comportement que j’avais eu avec mes parents et qui avait été pour beaucoup dans mon hypersexualité, que j’essayais maintenant de réprimer à tout prix ;
Tout cela désespérait aussi Philippe. Je ne veux pas qu’on puisse penser que celui-ci n’est qu’un pervers, uniquement préoccupé de réaliser avec moi ses fantasmes candaulistes. Certes, ce fantasme est au plus profond de lui-même, il avait fait échouer ses deux précédents couples avec Flavienne et Patricia. Certes encore il avait tout organisé pour me faire tomber pendant ma nuit de noces et n’était que partiellement parvenu à ses fins, puisqu’il avait dû se contenter d’écouter derrière la porte, sans être autorisé à assister à mes ébats avec son témoin et ami Pierre.

Les cris de plaisir qu’il avait entendus l’avaient convaincu qu’il ne se trompait pas. Pour mon équilibre mental, pour mon bonheur, je ne pouvais être la femme d’un seul homme. J’avais une libido qu’un seul homme ne pouvait satisfaire, lui en particulier. Cela correspondait en plus à ses envies candaulistes, mais c’est me rendre heureuse, mettre fin à mes frustrations et, on peut le dire, à mes souffrances, c’est ce qui le motivait avant tout.
Aujourd’hui, je le remercie de son amour et de son insistance, il a fait mon bonheur et me rend heureuse.
Pourtant, après « l’incident Georges », nous étions dans l’impasse totale et nous y sommes restés près de deux ans. J’ai même exigé de Philippe qu’il arrête de me parler de ces choses, y compris pendant nos ébats et nos pratiques sexuelles. Plus que jamais, celles-ci étaient tournés vers des fellations fréquentes, pour que je puisse me « nourrir » de sa semence, de fist-fucking où je voulais qu’il pousse toujours plus loin son avant-bras dans mon vagin et de pratiques sado-maso, où je réclamais de sa part des coups de fouet toujours plus nombreux et forts.
Philippe cherchait désespérément des solutions et pensait trouver de l’aide du côté de Christine et de Jean. J’ai déjà parlé d’eux. Un couple libertin de la ville, organisateur de parties fines, de partouzes. Christine est une blonde plantureuse, avec de gros seins magnifiques. Comme moi, elle aimait s’habiller court, se maquiller outrageusement, exhiber sa poitrine et ses cuisses, mettre en valeur un cul qui aurait fait bander un mort. Elle n’aimait rien de plus que de se faire prendre devant Jean et de lui fournir de jolies filles. Ces deux vicieux étaient complices et, avaient, depuis longtemps des visées sur moi. J’ai raconté, lors de notre mariage, que Christine avait été mon témoin et qu’elle avait participé au complot qui m’avait placé dans les bras de Pierre. Christine était profondément bisexuelle, elle préférait même les femmes. Elle avait tenté une approche lors de cette fameuse nuit, mais sans conclure.
Elle me voulait et ne supportait pas que je ne lui cède pas, alors que j’étais aussi une bisexuelle assumée. Pire, lorsque Christine a su qu’Agun était mon amante, on peut même dire ma femme, elle s’est rendue au même salon thaï et a obtenu qu’Agun soit sa masseuse. Elle fut furieuse quand Agun l’a gentiment repoussée, lui disant qu’elle était fidèle, qu’elle appartenait à Mme Olga et à elle seule.
Ce soir-là, Jean a découvert Christine en pleurs. Christine lui expliqua sa colère et sa frustration :
• Toi, tu es jalouse et amoureuse d’Olga
• Je la veux, elle m’obsède depuis la nuit de ses noces. Je n’ai jamais autant désiré une femme. Mais je veux aussi la partager avec toi, mon chéri. Je rêve que nous nous occupions d’elle tous les deux, que tu la sautes, pendant que je la gouine.
• Elle a prouvé, le soir de ses noces, et avant de connaitre Philippe, sa véritable nature. Ce qu’il faut, c’est la coincer. C’est une véritable chasse qu’il faut réussir.
• Notre meilleur allié sera Philippe. Son rêve est de voir sa chérie se faire baiser devant lui. Elle se prétend une épouse sage. Aidons-le à faire d’Olga une salope intégrale. Je vais d’abord m’occuper de Philippe et, ensemble, nous allons attirer notre jolie proie dans nos filets.
L’offensive de Christine sur Philippe
Christine avait compris la force des liens qui m’unissaient à Philippe. Contrairement à ce tentèrent de faire par la suite Flavienne, l’ancienne compagne de Philippe, puis Marie, qui a été ma pire ennemie et tenta de me prendre Philippe, puis Rachid, Christine avait moi pour objectif principal. Mais elle voulait me rendre jalouse, espérant que cela provoquerait une réaction en chaîne.
Christine mit toute sa science à faire du « rentre dedans » vis-à-vis de Philippe. Philippe a beau être amoureux fou de moi, il n’est qu’un homme et finit par céder aux avances de la belle Christine.
Philippe a eu l’honnêteté de me le dire, avant que de bonnes âmes ne m’informent.
J’étais folle de rage et de jalousie.
• Chérie, je t’ai toujours dit que tu étais libre. Libre de prendre un ou des amants. Je t’ais toujours encouragé, car je pense que c’est ce dont tu as besoin. Je voulais te dire qu’en ce qui me concerne, Christine est ma maitresse.
• Et moi je n’ai jamais dit que tu es libre, Philippe. Tu es à moi et à personne d’autre !
• Je suis à toi et rien qu’à toi. C’est toi que j’aime, pas elle. Mais avec elle, je découvre un autre monde. La voir s’offrir à des hommes devant moi, j’adore. Même si je rêve que ce soit toi qui m’offre ce plaisir, pas elle.
Je ne voulais plus rien entendre. J’avais envie de le . Je me suis jetée sur Philippe, je l’ai giflé, frappé, griffé, puis déshabillé, avant de lui pratiquer une fellation qui a vite abouti à ce qu’il se vide dans ma bouche. Je n’en avais pas fini avec lui et, harnachée de mon gode ceinture le plus long, je l’ai sodomisé sans ménagement, insensible à ses cris de douleur et excitée par ses gémissements de plaisir. Si j’avais pu, je l’aurais marqué au fer rouge pour que Christine sache que Philippe était à moi, à moi seule, ma propriété, mon objet sexuel et que personne ne me le prendrait et ne nous séparerait.
Poursuivant son plan, Christine monta d’un cran. Elle fit en sorte que sa liaison soit publique. Elle tenait Philippe par la main, par l’épaule, l’embrassait fougueusement en public, y compris en présence de Jean, mais cela était dans les pratiques habituelles de ce couple. L’histoire fit le tour de la ville, avec un nouveau scandale à la clé, un peu plus de trois ans après notre fameuse nuit de noces. Comme on me détestait, les commentaires étaient « la putain est cocue, bien fait pour elle », « ils vont bien ensemble ce Philippe et cette Olga », « Il a bien raison de se venger » « Qu’est-ce qu’il attend pour se débarrasser de la putain et la renvoyer dans son pays »
J’ai résisté à la tentation d’aller demander des comptes à Christine, d’ajouter le scandale au scandale, d’autant que je ne pouvais savoir quelles seraient mes limites.

Christine poursuivit sa manœuvre en mettant dans la boucle Flavienne, l’ancienne compagne de Philippe et qui, seule depuis peu, ne rêvait et ne rêve que d’une chose : reprendre l’homme qu’elle aime et qu’elle regrette d’avoir quitté. Lors d’une soirée, alors que Philippe et Christine avaient disparu, Flavienne vint vers moi et me dit :
• Décidément, tu n’es pas digne de lui. Tu devrais disparaître de sa vie, car tu ne sais pas le rendre heureuse.
• Tu peux parler, toi tu l’as quitté et aujourd’hui tu regrettes. Moi, je ne le quitterai jamais. Il est à moi, tu entends, salope ?
• C’est ce que tu crois ! Suis-moi, tu verras de plus près ce qu’il aime.
Nous sommes montées à l’étage, sommes entrées dans une pièce ou était installée une caméra.
• Je me suis laissée dire que tu aimais visionner des films X. Tu vas être servie, la soirée ne fait que commencer.
Sur l’écran, Philippe et Christine étaient nus. Christine, à genoux, lui taillait une pipe et, d’un air de défi, regardait vers la caméra. Elle savait naturellement que j’étais spectatrice.
• Elle ne t’a jamais fait une branlette espagnole, n’est-ce pas ?
• Non, Olga a de petits seins, bien fermes, si sensibles, mais ça, elle ne peut pas le faire. Allez Christine, prends tes nichons à pleines mains que je puisse goûter à une branlette espagnole.
Christine mit la queue de Philippe entre ses jolis seins bien fermes. Philippe se met donc à faire coulisser son sexe entre les seins de Christine. Elle commence par le branler doucement en faisant glisser sa verge entre ses nénés sur toute sa longueur, puis de plus en plus rapidement. Son sexe gonflait de plus en plus sous ses caresses. Ca le rendait fou. Puis elle avala son sexe, le faisant disparaitre entièrement dans sa gorge. Elle le suça longuement avant de s'empaler sur son sexe dans un râle de plaisir. Mais Philippe voulait se finir entre les gros seins de Christine. Olga était surprise : son homme, si tendre, si soumis avec elle, se comportait avec sa maîtresse comme un macho. Il n’avait aucune préoccupation du plaisir de Christine, ne la caressait pas, n’employait aucun mot tendre, au contraire, il la traitait de pute, de salope, de chienne. Christine n’avait jamais autant utilisé que ce soir sa poitrine de rêve pour procurer du plaisir à un homme. Plusieurs giclées de foutre vinrent s'écraser sur le visage de Christine.
Flavienne s’attendait de ma part à une crise de rage, que je cherche à savoir où cela se passait, pour interrompre les amants, faire du scandale. J’étais jalouse, car j’avais rarement vu Philippe bander autant et avoir autant de plaisir. Mais en même temps, j’étais fière de mon homme, rassurée sur son absence de sentiments. Christine était un objet sexuel pour lui, pas une rivale pour moi. J’aurais voulu être avec eux pour encourager Philippe et donner une leçon à cette petite putain. Je nous imaginais, dans nos jeux SM, que Philippe et moi la flagellions à tour de rôle. Sans aucune gêne vis-à-vis de Flavienne, j’ai commencé à me caresser les seins et le clito, pour calmer mon excitation, ajoutant « C’est beau, ça m’excite » Je me rendais compte que, d’une certaine façon, j’étais, moi aussi en train de devenir candauliste, prenant plaisir à voir mon homme avec une autre femme, dès lors qu’il n’éprouvait aucun sentiment pour elle.
J’ai dit ensuite à Philippe que j’avais adoré le spectacle. Je n’étais pas restée pour la suite, où d’autres hommes avaient rejoint les amants, pour baiser Christine devant Philippe et satisfaire ses fantasmes candaulistes.
• Je suis heureux mon Olga que tu comprennes et que tu ne m’en veux pas. C’est purement sexuel. Comme j’aimerai que tu te joignes à nous. Que tu gouines Christine devant moi. Que tu mettes ma queue dans sa bouche, dans sa chatte, dans son cul.
• Hum, je ne suis pas prête encore à aller jusque-là ! Mais j’aurais plaisir à ce que, toi et moi, on s’occupe d’elle dans une séance SM. Je voudrais qu’elle soit fouettée au sang !
• Vicieuse ! Mais elle fera tout ce que je lui demanderai. Fais-moi plaisir, accepte leur invitation pour la crémaillère de la nouvelle maison de Jean et Christine. Ils insistent beaucoup !
L’échec de Jean
C’était en fait le dernier étage du plan de Jean et Christine. Il fallait que je vienne chez eux. Ils étaient persuadés que Jean emporterait mes derniers scrupules et rêvaient déjà que tout cela ne se termine par une partie carrée : moi, Jean, Christine et Philippe. Et une apothéose, avec une partouze dont je serai la vedette.
Philippe avait dû insister longuement pour que j’accepte. D’une part, même si je voyais différemment sa liaison avec Christine, mon « instinct de propriété » n’avait pas disparu. Je connaissais la réputation du couple, comment se terminaient leur soirées mondaines et surtout que Jean rêvait depuis longtemps de m’accrocher à son tableau de chasse. Une fois de plus, mon mari me livrait dans la gueule du loup. Jean avait été absent lors de notre mariage, alors qu’il aurait tant aimé jouer le rôle de Pierre, celui de mon premier adultère.
De guerre lasse, j’ai fini par céder
• « Mais je te préviens, ne te fais aucune illusion, ils ne me toucheront ni elle, ni lui !
• Comme je te l’ai toujours dit, tu es libre, mais tu sais ce que je veux pour toi »
Ce n’était pas tout. Philippe insista encore pour que je porte une robe qu’il m’avait acheté récemment et que je n’avais encore jamais mise, et pour cause : elle était parfaitement indécente, au point de faire passer la fameuse robe de mon mariage comme celle d’une jeune fille sage. Les bras et les épaules étaient nus, ainsi que le dos. Le décolleté était vertigineux et ne permettait pas le port d’un soutien-gorge. Qui plus la robe mettait aussi en valeur mes jolies jambes, mes cuisses et mon cul. Bref, j’allais faire sensation !
Il y avait beaucoup de monde à cette soirée. Manifestement, la venue des T et la perspective de voir Olga T (enfin) succomber, avait attiré du monde, certains hommes se disant qu’une fois que Jean aurait emporté la forteresse, ils pourraient en profiter à leur tour. Ces gens étaient venus pour partouzer, ça ne faisait pas l’ombre d’un doute. A défaut d’Olga, il y avait Christine, à qui une dizaine d’amants en une soirée ne faisaient pas peur.
Christine et Jean me firent fête :
Christine m’embrassa près de la bouche, ses mains s’attardant sur mes seins et mes fesses :
• Ma chérie, je suis si heureuse que tu ne m’en veux plus. Je n’ai jamais cherché à te prendre Philippe, il n’aime que toi. J’avoue que je voulais te rendre jalouse. Philippe m’a dit que tu as beaucoup aimé le petit film.
• J’ai adoré ça.
• J’aimerais tant que tu participes. Tu pourras me faire tout ce que tu aimes, sans tabous, je serai à toi. Pour te dire la vérité, c’est toi que je veux. Je sais que tu as besoin des caresses d’une femme, qu’on te bouffe la chatoune.
Pierre fut plus subtil, sans cacher ses objectifs.
• C’est un honneur d’accueillir la fameuse Olga, l’épouse de notre ami Philippe.
• Et vous le mari de la maitresse de Philippe
• En effet. Mais faites comme moi, je ne suis pas jaloux, je suis heureux quand Christine s’amuse et qu’elle a du plaisir. Elle et votre mari s’entendent bien sur le plan sexuel et ont une obsession commune : vous. Entre Christine et Philippe rien de sentimental, c’est purement sexuel, même s’il a des pratiques très hard avec elle.
• Vraiment ?
• Oui, l’autre soir, quand elle est rentrée, elle avait le dos en sang, il l’avait fouetté. Jamais elle n’a fait ça avec moi.
• Si elle est consentante et qu’elle aime ça !
Je pensais en moi-même : « ça lui fait le plus grand bien à cette salope. Attends si elle me tombe entre les mains, tu verras dans quel état je te la rends »
• J’ajoute que vous êtes ravissante, chère Olga et cette robe incroyable met en valeur votre beauté
• Un cadeau de mon Philippe, qui adore mettre en valeur sa chérie. Je pense que cette tenue va faire de l’effet chez les invités de votre soirée, si j’en juge d’après ton état !

Je m’étais mise à le tutoyer, lui adressant mon plus grand sourire. Il me prit dans ses bras, pour me faire une bise sur les joues, mais en profita pour me faire sentir une érection déjà conséquente. Trop tentée, je posais une main sur la braguette de mon hôte et ajoutais, à voix basse :
• « Pas mal du tout. Je parlais du salon bien entendu
• Evidemment ! Christine, présente Philippe et Olga à nos invités, je reste pour accueillir ceux qui doivent encore arriver
• Viens chéri, dis-je à Philippe. Je vais faire en sorte que tous ces mâles voient bien les charmes de ton épouse, ça devrait les mettre en forme avec leurs compagnes ou pour baiser Christine tout à l’heure.
• Il ne tient qu’à toi de me voler la vedette ce soir, dit Christine.
Et en effet les invités se sont bien rincé l’œil, la fameuse robe ne cachant guère les parties les plus intéressantes de mon anatomie, tout particulièrement mes seins. J’ai même fait remarquer à un de ces Messieurs
• « Cher Monsieur, je vois que ça vous plait beaucoup. Sauf à faire tomber ma robe, je ne peux pas en montrer davantage !
• Vous ne croyez pas si bien dire. C’est ce que tout le monde attend. Il y aura ce soir un concours de la plus belle salope entre Christine et toi.
La soirée se poursuivait. Philippe ne se faisait pas prier pour expliquer sa conception du candaulisme. Christine se comportait avec lui comme une chienne en chaleur, alors que de mon côté je devais faire face à des gestes de plus en plus déplacées, des paroles sans ambigüité, des mains baladeuses.
Jean donna le signal :
• Christine, si tu faisais visiter le haut à Philippe, moi je ferai la même chose avec Olga. Nos amis nous rejoindront ensuite
• Oui quand ils entendront le signal
• Le signal ? Dis-je
• Oui tes cris de plaisir et les miens. Tout le monde est d’accord pour, qu’en tant qu’hôtes, nous ayons une priorité. Nous avons toute la nuit devant nous.
Nous sommes allés à l’étage. Il y avait deux grandes pièces, où les meubles avaient été retirés, les sols couverts par de magnifiques tapis de Perse. Ces pièces avaient été aménagées pour une partouze. Seuls des coussins apportaient un élément de confort. Sur de petites tables, il y avait des boites de préservatifs et des lubrifiants.
Christine fit tomber sa robe. Nue, elle s’approcha de moi, m’offrit ses lèvres. Je répondis à son baiser.
• Quand nous serons rassasiées de mâles, je finirai la nuit avec toi. Tu vas enfin connaître ce plaisir dont tu prives stupidement depuis si longtemps. Profites-en bien. Tu vas commencer avec mon Jean, réputé comme un des meilleurs baiseurs de notre ville.
Elle prit Philippe par la main et alla vers une des deux immenses pièces, laissant l’autre à Jean et à moi.
A ce moment-là, j’étais fatiguée, je ne voulais plus lutter et j’étais prête à me laisser aller.
• Olga, je t’ai vue la première fois il y a près de 7 ans, quand Philippe a fait ta connaissance. Depuis ce jour, j’ai envie de toi.
Il me prit dans ses bras et nous échangeâmes un long et chaud baiser. Il fit tomber ma robe. J’étais nue, offerte. S’il était passé à l’action tout de suite, il avait partie gagnée. Je voulais être baisée tout de suite, comme la chienne que j’étais à ce moment-là.
Au lieu de ça, il se mit à faire de longs préliminaires, me couvrant de caresses et de baisers. Ce n’est pas ça que j’attendais de ce mâle. Il n’avait pas compris que je ne cherchais que du sexe brut, une saillie, sachant que ce serait le début d’une nuit qui me ferait définitivement basculer, vu le nombre de mâles qui attendaient leur tour au rez-de-chaussée.
Jean sortit sa queue, une belle pièce, même si elle restait inférieure à celle de beaucoup de mes amants, à commencer par mes deux dernières expériences, avec Pierre puis avec Georges le concierge.
• A genoux ! Suce, salope !

Je m'approchai de lui et passa le doigt sur son gland que je sentis frémir. Je m'agenouillais et léchais son gland. Je fis tournoyer ma langue autour de son gland pendant que je lui caressais les couilles. Je lui mordillais légèrement son gland ce qui le fit frémir. Je donnais ensuite des petits coups de langues rapides sur son frein puis autour de sa couronne. Je lui léchais la queue de bas en haut doucement. Je le sentis soupirer de plaisir, prenant appui sur le lit et savourant ma langue frétillante sur sa queue tendue de désir. Je léchais ses couilles et les prit en bouche pour les aspirer et les sucer. Ma langue tournoyait autour de ses boules pendant que je les aspirais d'un mouvement de succion. Je fis à nouveau entrer dans ma bouche son gland et je le pompais. Il gémissait de plus en plus et son corps tremblait. Je continuais à le sucer en jouant avec mes lèvres sur toute la surface de son gland violacé de désir. Je le pris un peu plus en bouche, commençant des mouvements de va-et-vient lents et savoureux. Jean était en pleine extase, la tête en arrière, savourant ce plaisir buccal. Je continuai ainsi, accélérant la cadence, désirant le faire jouir intensément. Pendant que je le pompais, je massai ses couilles. Je gobe son engin lentement, remonte et joue avec le gland, m'attarde sur le frein puis redescend alternant les allers-retours plus ou moins rapides. Il semble apprécié si j'en crois le gonflement de son gland et les soupirs qu'il pousse. -
Il craqua et finit par jouir dans ma bouche, crachant son fluide dans ma bouche tout en poussant un cri de plaisir. Son sperme chaud frappa le fond de ma gorge et je me fis un plaisir de l'avaler jusqu'à la dernière goutte.
C’est à ce moment-là que tout bascule.
• Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris, je ne voulais pas jouir si vite, je voulais te prendre. Mais là, il va falloir patienter un peu.
J’étais stupéfaite et furieuse. Le mâle à qui on avait voulu m’offrir avait été victime de son excitation et avait fait de l’éjaculation précoce. Il avait joui rapidement dans ma bouche, sans prévenir. Certes, j’aime avaler du foutre, mais à condition que je l’ai décidé et que mon amant ait des réserves pour continuer. Là, ce n’était pas le cas et Jean le partouzeur avait une défaillance inattendue. Il avait fait une « contre-performance » Jamais je n’avais connu ça, y compris avec Philippe.
• Attendre, tu plaisantes ? J’attends depuis des années et je tombe sur un éjaculateur précoce, incapable de se retenir alors qu’il s’agissait de me baiser, que je n’attendais que ça ? Je suis désolée, mais comme on dit « l’histoire ne repasse pas les plats ». Je ne serai pas à toi, pas plus qu’à tes invités à qui tu m’as offerte par avance. Ta réputation de baiseur en prend un sacré coup ce soir.
Je ramassais ma robe pour la remettre.
• Attends, Olga. Ne fais pas ça. Tu me ridiculises devant mes amis. Tu n’es qu’une putain et une allumeuse.
Comme je ne me laissais pas attendrir, il changea de méthode. M’attrapant par le bras, il me décocha une violente gifle et me tordit le bras. Il n’y était pas allé avec le dos de la cuillère, un filet de sang coulait de mon nez. Il déchira ma robe et me jeta à terre
• Je vais te forcer, salope, tu ne t’en sortiras pas comme ça ! Tu vas t’occuper de moi, pour que je rebande et vite !
Je commençais à le masturber mais je ne pensais qu’à m’en aller. Mon excitation était complétement retombée. Ni lui, ni aucun de ses amis ne m’auraient.
Il baissait sa garde, pensant qu’il avait gagné. Je me mis à tordre violement ses couilles. Il hurla de douleur et m’agonit d’injures. Je me précipitais hors de la pièce et entrais dans l’autre chambre pour récupérer Philippe, qui était en train d’enculer Christine. Je le pris par la main :
• Désolée de vous interrompre, mais on part et tout de suite. Ne discute pas Philippe, obéis si tu m’aimes !
Philippe comprit qu’il ne devait pas discuter
• Que s’est-il passé, dit Christine ?
• Demande à ton éjaculateur précoce de mari qui s’est vidé dans ma bouche comme un ado boutonneux et qui ensuite à voulu compenser par la violence. Il ne m’aura pas, et aucun de ses amis non plus.
• Mais chérie, tu vas sortir comme ça, nue ?
• Et alors, on est en voiture. Les autres automobilistes pourront se rincer l’œil. Tu aimes bien m’exhiber, non ?
Jean apparut alors, se tenant l’entrejambe.
• Cette allumeuse m’a presque mutilé. Elle est folle ! Laisses les partir chérie ! Un jour, elle sera à nous et crois-moi, elle aura alors un traitement spécial !
Notre départ précipité fit sensation. Je n’ajoutais pas à l’humiliation de Jean en donnant des détails, me contentant de les renvoyer vers les explications de leurs hôtes.
Jean leur expliqua que je m’étais laissée embrasser et déshabiller, puis que je l’avais repoussée alors qu’il s’apprêtait à conclure.
Cette tentative, qui échouait lamentablement, ne faisait qu’alimenter ma mauvaise réputation, celle d’une exhibitionniste allumeuse. Ma frustration était à son paroxysme, même si je me félicitais, a posteriori, d’avoir au dernier moment repris mes esprits. On se rassure comme on peut !
Bien évidemment, nos relations sociales, qui n’étaient pas brillantes, en furent très affectés et nous étions, c’est bien le moins, en froid, avec Jean et Christine.
Quant à Philippe, il restait persuadé que c’était un incident de parcours, dont la responsabilité incombait à Jean. Cela ne changeait rien à sa conviction que le candaulisme était indispensable pour une hypersexuelle comme moi, qui ne pouvait continuer à rejeter sa nature. Mais en même temps, il désespérait de parvenir à me convaincre.
J’avais besoin de changer d’air. Je me suis décidée à participer, en ce mois de mars 2007, à un voyage organisé à Rio de Janeiro. Philippe, toujours aussi occupé, ne pouvait m’accompagner. C’est ce voyage qui fut une étape décisive dans ma transformation. (à suivre : « adultère tropical »)






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